crever je sais
cadenassé dans mes mouvements
mes pulsations lovant la fatigue
j’apprends
pour vivre
les prétextes atroces
qui me compliquent les choses
le monde beau cinglant
et sa grande roue logique
délirante
mur vierge et informe
comme nos fondations traquées
à vivre…
le futur nous vole
faux-fuyant
noir de ténèbres
subtiles
et extrémistes
l’évènement
nécessaire au désastre
arrivé
tu auras tellement peur
tu auras tellement peur.
mercredi 5 décembre 2007
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